Dans cette phase de forte diffusion, de forte émotion devant la maladie, les informations alarmantes en contradiction avec les données officielles, nous ne pouvons qu’essayer de comprendre s’il y a une logique derrière les données officielles. On entend de très nombreux témoignages de décès à Pékin, d’hôpitaux saturés, et de crématoriums débordés. Et donc 7 décès (5 nouveaux annoncés à l’officiel à pékin le 19/12), ça paraît bien peu. Une conférence de presse donne quelque explication avec une définition du décès Covid plus restrictive : le patient doit être positif et mourir de détresse respiratoire, ce qui paraît très restreignant pour une maladie qui va justement toucher gravement des personnes avec des maladies existantes. » Il semblerait donc que la définition soit maintenant modifiée par rapport au printemps : Sur les notifications de Shanghai en avril mai, on avait systématiquement cette phrase « Après l’admission du patient à l’hôpital, la maladie primaire s’est aggravée et le sauvetage a été inefficace et est décédé. La cause directe du décès était la maladie sous-jacente ou la malignité. A Pékin, les premiers décès arrivent 12 jours après la levée des restrictions mais avec une définition beaucoup plus restrictive qui avait d’ailleurs été adoptée en 2020 par certains pays, donc ce n’est pas nouveau… De plus, il y avait eu un décalage de 3 semaines entre le confinement de Shanghai et les premiers décès annoncés, intervenus plusieurs jours après des rumeurs de 40 décès dans une maison de retraite. Changement de définition, certes, et retard comme à Shanghai dans le démarrage de la comptabilisation des décès.